La consommation énergétique d’une maison peut varier de 1 à 4 suivant le niveau d’isolation. Ainsi, un logement construit suivant les dernières normes consomme environ 60 kWh par m2 et par an quand une maison ancienne peut engloutir jusqu’à 240 kWh par m2 et par an, lorsque ce n’est pas d’avantage.
On sait par ailleurs qu’environ 87 % de la consommation énergétique d’un logement passe dans le chauffage.
D’où l’importance de disposer d’une excellente isolation.
Elle permet de faire chuter très sensiblement la facture d’électricité, de gaz ou de fuel.
Seulement parler d’isolation d’une maison existante, c’est poser la question de l’impact de ces travaux sur l’intérieur du bâtiment…
Comment ne pas refaire entièrement l’intérieur, lorsqu’on veut isoler son logement individuel.
La perspective d’avoir à reprendre la totalité des papiers peints, des peintures, d’avoir à traiter les encadrements de fenêtres ou encore de déplacer les réseaux électrique ou d’eau passant le long du mur en a découragé plus d’un.
Pourtant une solution permet d’éviter cela :
OPTER pour l’ ISOLATION THERMIQUE par l’ EXTERIEUR.
Outre le fait de ne pas impacter l’intérieur du bâtiment, cette technique présente l’avantage de ne pas réduire la surface habitable de la maison puisque l’épaisseur de l’isolant vient s’ajouter en façade.
Par ailleurs, l’isolation thermique par l’extérieur permet de procéder, dans le même temps, à la réfection de la façade de la maison.
D’où l’intérêt de s’interroger sur l’opportunité d’engager de tels travaux lorsqu’on envisage de rafraîchir l’extérieur de son habitation.
Enfin, elle offre l’avantage de limiter, voire de supprimer (en fonction des modes de construction) les ponts thermiques, source de déperdition énergétique.
L'isolation thermique par l'extérieur est une solution particulièrement adaptée pour améliorer les performances thermiques des bâtiments.
Puisqu'elle permet de supprimer la plupart des ponts thermiques en assurant l'homogénéité complète de la structure, d'obtenir des températures stables et homogènes entre le jour et la nuit, l'été et l'hiver, et de réduire les écarts de température, donc les mouvements différentiels et les contraintes d'origine hygrométrique.
Cette protection des structures contre les chocs thermiques et contre l'action agressive de l'eau permet d'augmenter l'inertie thermique et participe à la pérennité du bâtiment.